De nos jours, une assurance est beaucoup plus qu’un simple plan de protection. C’est certes une solution plus complexe dans ses subtilités, mais qui fait néanmoins davantage pour vous que simplement mettre les vôtres à l’abri en cas de besoin. Il n’est donc pas rare de voir des personnes choisir une assurance vie en guise d’outil d’épargne. Pourquoi? Comment? C’est ce que vous découvrirez dans les prochaines lignes.
L’assurance vie pour épargner
Vous vous demandez peut-être à quoi comparer le volet épargne de votre future assurance vie? Pensez au CELI. Bien entendu, le produit n’est pas exactement le même (sinon il n’existerait probablement pas!), mais le compte d’épargne libre d’impôt peut représenter un équivalent assez juste, particulièrement au moment du retrait.
Imaginons donc que vous désiriez un petit complément de revenus pour vous assurer une retraite à la hauteur de vos attentes. Une police d’assurance vie en guise d’investissement est tout indiquée. En plus d’aider vos proches à payer vos funérailles, vous pourrez profiter de l’argent de votre vivant!
Plusieurs combinaisons de produits répondant à cette situation sont proposées sur le marché, c’est pourquoi nous vous conseillons de communiquer avec l’équipe d’Infoprimes qui saura vous guider vers les solutions les mieux adaptées.
L’assurance vie universelle (VU)
C’est une des assurances les plus répandues pour combiner protection et épargne, notamment grâce à sa facilité de gestion. Sa finalité est toute aussi aisée : vous payez des primes (fixes ou fluctuantes au gré de votre âge) et vos bénéficiaires recevront un capital non imposable à votre décès.
La beauté de la VU, c’est qu’elle vous permet, entre autres, de payer plus que vous devez. De cette façon, vous vous constituerez un capital, qui est, soit dit en passant, libre d’impôt… tant que vous n’y touchez pas. Voici donc un exemple simplifié du fonctionnement de l’assurance vie universelle.
La première année, vous décidez de consacrer 1500 $ à votre assurance, alors qu’en réalité, elle vous en coûte 500 $. Qu’advient-il de la différence? Elle se transforme en fonds de capitalisation, dans ce cas-ci 1000 $, que vous pourrez racheter un jour ou léguer, selon votre bon vouloir.
Poursuivons. Nous voici rendus à la deuxième année de votre contrat. Vous y aviez accumulé 1000 $, vous vous souvenez? Disons que le rendement ajouté à votre compte est de 4 %, cela représente 40 $. Encore une fois, vous déboursez 1500 $ pour l’année tandis que le contrat vous n’en exige que le tiers. En additionnant tous ces beaux chiffres, vous constaterez que vous avez accumulé 2040 $ de capital… en deux ans seulement! Imaginez au bout de 25 ans!
Mais que ferez-vous donc avec cet argent? Ce que vous désirez! Cessez de payer vos primes, retirer l’argent et dépensez-le à votre guise.
Parallèlement, cette somme peut servir à financer une épargne de précaution, à payer les études de ses enfants, à mettre de côté pour un achat immobilier, à préparer sa succession, à vous de voir!
L’assurance vie universelle représente donc un placement très polyvalent, qui risque fortement d’être adapté aux moindres de vos besoins, quels que soient vos projets.