Le monde de l’assurance est parfois étrange. Surtout lorsqu’il est question d’assurer un prêt hypothécaire. On risque de ne pas s’y retrouver. Les questions sont nombreuses et les réponses le sont tout autant. Toutefois, elles ne sont pas toujours aussi claires que nous le souhaiterions.
Pourquoi assurer une hypothèque? Est-ce nécessaire de souscrire une autre assurance? L’assurance de la SCHL est-elle la même que celle offerte par ma banque? Si j’assure ma maison et mes meubles, est-ce que je dois aussi assurer mon hypothèque? Diantre! Et si on tentait de démêler tout cela?
Tout d’abord, il est important de savoir que l’achat d’une maison ne peut se faire sans souscrire certaines assurances. Lorsque vous avez identifié la maison de vos rêves, vous devez entreprendre les démarches de financement. C’est à ce moment que vous devrez parler d’assurance pour la première fois.
Deux organisations, la Société canadienne d’hypothèques et de logements (SCHL) et GE Capital, offrent ce qu’il est convenu d’appeler une assurance-prêt. Cette assurance est nécessaire lorsque vous n’avez pas accumulé suffisamment de mise de fonds. Tout le monde a entendu parler que, pour acheter une maison, une mise de fonds de 5 % est nécessaire. C’est vrai, en partie.
En temps normal, la mise de fonds devrait être de 20 %. Si c’est le cas, bravo! Vous pouvez passer à l’étape suivante. Sinon, vous devrez souscrire à une assurance-prêt, qui protège l’institution prêteuse contre les défauts de paiement. Ainsi, la mise de fonds peut être réduite à aussi peu que 5 % de la valeur de l’hypothèque. Le montant de l’assurance est ajouté au prêt hypothécaire et est à la charge de l’acheteur.
Lors de la négociation de votre prêt hypothécaire, votre institution prêteuse pourrait vous demander de souscrire à une assurance hypothécaire. Certaines d’entre elles la considèrent comme un pré-requis à l’obtention d’une hypothèque.
Il faut faire bien attention, car cette assurance n’est pas la même que celle que vous souscrirez pour obtenir une protection en cas de vol ou d’incendie. Cette assurance vous fournira une protection en cas de décès, d’accident, de maladie ou d’invalidité. Elle n’est pas obligatoire mais peut s’avérer indispensable en cas de coup dur.
La majorité des institutions prêteuses vont vous offrir une assurance de type collective. Le capital assuré, équivalant à la valeur de l’hypothèque, va en décroissant au fur et à mesure que vous faites vos versements. La prime est calculée en points de pourcentage de taux d’intérêt. Machinalement, vous serez tenté de souscrire sur-le-champ, en pensant que cela constitue la meilleure alternative.
Et, pourtant, ce n’est pas le cas. Vous avez aussi le loisir de souscrire une assurance hypothécaire par le biais d’un courtier, comme InfoPrimes. Vous obtiendrez, là aussi, une protection en cas de maladie, d’accident, d’invalidité ou de décès. Les différences avec l’assurance offerte par votre banquier sont fondamentales.
Le contrat d’assurance est individuel. Vous en êtes le propriétaire et vous déterminez vous-même votre bénéficiaire. Dans l’autre cas, c’est votre banquier qui est propriétaire et bénéficiaire de la police d’assurance.
Avec InfoPrimes, le capital assuré demeure le même, la prime est fixe et ne changera pas pour toute la durée du contrat. Par ailleurs vous conservez votre assurance et votre assurabilité et ce, même si vous changez de banque à l’occasion d’un renouvellement. Avec la banque, la prime est établie en fonction de l’âge et pourrait vous réserver des surprises lors du renouvellement. Il en va de même pour votre assurabilité.
Chez votre banquier, le calcul du risque se fait au moment de la réclamation. Il se peut même qu’on refuse de payer le capital assuré. Avec InfoPrimes, tout cela est déterminé au moment de souscrire la police. Cela vous met à l’abri des mauvaises surprises.
Imaginez le scénario. Vous contractez votre assurance auprès de votre institution prêteuse. Vous signez une hypothèque de 25 ans renouvelable à tous les cinq ans. C’est un classique. Après 10 ans, vous négociez un meilleur taux ailleurs, ce qui vous permet de réduire votre période d’amortissement de deux ans.
Toutefois, votre état de santé a changé et vous souffrez de malaises cardiaques. Et vous avez 10 ans de plus. Que se passera-t-il, selon vous, lorsque votre nouvelle institution prêteuse effectuera le calcul du risque? Serait-il possible, selon vous, que votre prime subisse une hausse assez substantielle? Fort probablement.
Avec InfoPrimes, la prime aura été établie au départ. Après 10 ans, elle n’aura pas changé et ce, peu importe les changements à votre état de santé. L’avantage est que votre police vous suivra à votre nouvelle institution financière. Personne ne vous posera de questions. C’est ce qu’on appelle la tranquillité de l’esprit.
Donc, en ce qui concerne l’assurance de la SCHL, vous avez au moins une base sur laquelle vous fier. Elle dépend directement de votre mise de fonds. Pour l’assurance hypothécaire, il n’en tient qu’à vous de faire le bon choix. Visitez www.infoprimes.com et comparez.